But: Vous fournir une perte de temps à haute teneur en libido.
Moyens : Fiction errrotique, moeurs dépravées et humour douteux.


pornoprose@gmail.com


Sunday, August 15, 2010

Conte de fesses

Comme tous les vendredi soirs, nous étions rassemblés dans la cuisine. Deux hommes, quatre femmes, tous et toutes vêtus de sous-vêtements aguichants et prêts à s'amuser toute la nuit.

Comme tous les vendredi soirs, c'est elle qui monta sur la table. Je ne sais pas pourquoi, mais il existait un accord tacite entre nous, un désir mutuel, et tout le monde savait que la soirée commençait officiellement dès qu'elle prenait place.

À genoux sur la surface de bois lisse, elle bougeait lentement, sensuelle... Sous sa petite culotte, on pouvait deviner les grandes lèvres ouvertes, chaudes, invitantes. Érections et humidité se répandaient dans l'assistance à une vitesse folle. Ma voisine de table se leva, caressa le corps offert devant nous et défit doucement son soutien-gorge. Une autre en profita pour la délester de sa culotte.

Une fois nue, sur la table, elle s'étira comme une chatte satisfaite, nous présenta sa croupe humide avant de se coucher sur le dos, les jambes ouvertes. Et le festin commença. Cinq langues lui chatouillèrent les lèvres, les seins, la chatte. Ensevelie sous le plaisir, elle tentait tant bien que mal de distribuer caresses et fellations. La nuit ne faisait que commencer...

Je ne sais pas pourquoi c'était elle, chaque fois, qui ouvrait la soirée. Pourquoi on l'avait tous choisie sans même en discuter. Ce n'était pas la plus belle, pourtant. Très jolie, oui, mais la carrure forte et les épaules larges. Pas vraiment un cas de magazine.
Je ne sais pas... C'était peut-être l'odeur douce et épicée de son entrejambe, peut-être le grand rire magnifique qui la secouait à chaque orgasme.. Nous dégustions son corps et sa jouissance nous enivrait.

Aaaah ! C'était le bon temps, les orgies et tout ça ! Puis un jour, elle fut enceinte. Puisque j'étais celui qui l'avait le plus pénétrée dans les semaines précédentes, on en déduisit que j'étais le père. Un condom percé, probablement.
On fit quelques festins encore, puis on se retira en campagne pour élever nos jumeaux fraîchement pondus. J'eus la chance de la déguster et de la pénétrer durant de longues années encore, sans jamais me lasser de l'odeur de sa chatte ni de son grand rire plein de jouissance.


T-Joy

No comments:

Post a Comment