But: Vous fournir une perte de temps à haute teneur en libido.
Moyens : Fiction errrotique, moeurs dépravées et humour douteux.


pornoprose@gmail.com


Wednesday, March 31, 2010

Squeeze it!


Squeeze it and drink babe.

Cheers!

Photo par L Boy et Eat it

Tuesday, March 30, 2010

S.E.X. 2056

Cest elle qui a insisté pour qu'on le fasse. Au début, j'avoue que j'avais peur... et peut-être un peu honte, aussi. C'est normal, répétait la vendeuse. "On a tous peur de perdre son corps" qu'elle m'a dit, avec du miel dans les yeux.
Elle pouvait bien parler, avec son cul à faire bander un arbre. Moi aussi j'aurais eu peur de le perdre, à sa place.

Non, c'était plutôt la peur de découvrir que j'étais mauvais au lit, que je ne lui procurais que peu de sensations... Quand je lui ai dit, elle a ri et m'a fait comprendre avec sa langue que je me trompais, qu'elle aimait beaucoup les plaisirs que mon corps lui procurait, qu'elle avait envie de me rendre la pareille par tous les moyens...

Dès lors, impossible de refuser. Et on se retrouve une fois de plus dans cette chambre aux couleurs sombres, à s'explorer la peau du bout des doigts; le désir qui monte; j'ai envie de lui mordre les bras, les hanches; et

comme je m'apprête à déguster son clitoris, elle me repousse gentiment. "Attends... maintenant..." et ses yeux, son sourire impatient...
Je sais, c'est le moment d'essayer notre nouvel achat. Putain. Sous le coup du stress, mon érection sonne la retraite, mais elle s'en aperçoit et ses doigts de fée ont tôt fait de raviver ma vigueur.
Une fois le truc installé - un mince cercle de métal autour de la tête - elle ouvre les jambes et se caresse le clitoris en me regardant droit dans les yeux. "Tu vas voir..." Son sourire espiègle. Elle appuie sur le bouton...
Et tout à coup, je me sens dédoublé.. je continue d'être là et de la regarder, mais une autre vision se superpose et s'impose à celle-là : je me vois, moi, à travers ses yeux à elle ! "Attends, n'aies pas peur..." Un murmure; elle est tout près... mais sa voix est la mienne. Ma vision se clarifie et je perçois le monde comme si j'étais elle ! Je suis elle !

Elle rit avec ma voix, me prend doucement la main et la dépose entre mes jambes. "Tu vas voir... fais comme j'ai fait." Timidement, je déplace mes doigts, envahi par une sensation inconnue. Des petites bulles de plaisir s'acheminent le long de mes nerfs... mmm... elle me sourit, se penche et m'embrasse l'intérieur des cuisses. Ma peau électrifiée intensifie les sensations, je continue de me masturber, sa langue entre en moi...
Sans ménagement, je saisis son membre et le caresse de haut en bas. Elle semble surprise - elle aussi - par les sensations qui l'envahissent, puis elle m'enlace et me prend... Ses hanches bougent au rythme de son plaisir, je crie, je gémis..

Et c'est à mon tour de rire lorsque je la sens secouée par la jouissance, incapable de contrôler ses tremblements. Nos corps suants et frémissants, enlacés sur les draps humides... un très long silence...
et des caresses, déjà, qui recommencent...


T-Joy

Monday, March 29, 2010

Ma petite emo

Sitôt sorti du métro Lucien-Lallier je l'ai senti.

Un parfum de naïveté, de conviction débutante.

Autant de jeunes troublées en un endroit, ici le Centre Bell, ça ne passe pas inaperçu à mon nez. Elles étaient si nombreuses, si suintantes d'anticipation mouillée, qu'elles couvraient complètement l'odeur pestilentielle du Lacoste et Hugo Boss de tous les douche-bags qui pullulaient, prêts à pleurer eux aussi pour s'en taper une.

Je ne pouvais m'empêcher de répliquer par un élan d'agressivité intense, joyeuse. Désir de faire réellement pleurer, de faire visiter les bas fonds du désespoir, de l'abandon. À leur pseudo-peine, j'étais une authentique détresse, prête à les damner toutes. 45 allait y goûter.

J'étais heureux comme jamais.

Mouille et pleurs, mon huile d'olive extra-vierge.

---

PS: si le nom de votre groupe contient le mot "talent", assurez-vous de pouvoir livrer la marchandise.

Trompe L'oeil

Sunday, March 28, 2010

Ille et el


Ille ne porte jamais de souliers à talons hauts
ni de rose.

Ille l’attache à la base du lit avec sa cravate.

Ille mord ses seins.

Ille porte si bien le strap-on.

Ille lui fait l’amour toute la nuit.

Au matin : des cernes, un sourire infatigable, les cheveux emmêlés, des ecchymoses de toutes les couleurs, des cicatrices en forme de cœur, des vêtements déchirés au pied du lit et des orgasmes en écho.

El laisse un immense pourboire à la femme de ménage, à cause du désordre et des draps tachés de son sperme.

Eat it

Image par L Boy

Thursday, March 25, 2010

Lao-Queue a dit :

Humidité et verge forte: tel est le secret de la vie.

Les amies de Marie

L'après-midi tire à sa fin lorsque j'aperçois la maison. Mon coeur bat plus fort, mon sang se précipite déjà pour gonfler mon membre; j'ai chaud, soudain. Derrière moi, Marie pouffe de rire.
Elle sait où je l'amène.

Les mains tremblantes, je sors la clé et l'insère dans la serrure. Mon amie se rapproche, sa main se faufile dans mes pantalons. Elle rit encore en constatant l'ampleur de mon excitation. J'ouvre la porte. Marie a les yeux grands ouverts, brillants de désir, la main qui s'active entre mes jambes. Je peux presque sentir l'odeur de son sexe.

À l'intérieur, j'aperçois quelques silhouettes entrelacées, des filles qui bougent l'une contre l'autre... leurs gémissements me font frissonner, Marie respire de plus en plus rapidement; j'ai vraiment chaud. Les filles nous accueillent avec de grands sourires, les plus excitées continuent, nous invitent à les rejoindre. Deux se lèvent et s'approchent de nous. Une fois les présentations expédiées, elles dévêtissent doucement Marie; sourires, caresses, baisers... elles dégustent la nouvelle venue, leur langue explore ses courbes et ses orifices.

Elle essaie de me regarder, mais le plaisir la prend par vagues, déjà l'une de ses nouvelles amies lui glisse un vibrateur entre les jambes. Deux autres filles, tout juste sorties de la douche et seulement vêtues de petites culottes, s'approchent de moi en souriant. Ça fait longtemps qu'on ne s'était pas vus. À peine le temps de se dire qu'il faudrait rattraper le temps perdu que déjà nos corps s'emmêlent dans une explosion de désir brûlant.

Je n'en peux plus de les voir bouger, gémissant de plaisir, tandis qu'elles se relaient pour me faire la pipe du siècle. L'une d'elles me présente son sexe, je la mange avec ardeur, ma langue danse en elle tandis que mon sperme jaillit dans la bouche de l'autre. Des frissons intenses me secouent tout le corps.

Je les entends rire de plaisir. Un peu plus loin, j'entends les cris de Marie et les gémissements de ses nouvelles amies... je respire... j'espère que la nuit va être longue...


T-Joy

Pique-nique au coeur de l'orgie

J’installe en plein milieu de la salle un grand foulard de soie bourgogne, qui fait office de nappe. La fille la plus sexy de toutes vient me rejoindre. Elle s’assoie en face de moi. Je lui offre du champagne qui m’a coûté une fortune. Son sourire, sa voix douce, son déshabillé noir et ses jarretelles valent bien cette folie.

Autour de nous, une centaine de filles baisent. Plusieurs sont placées contre le mur pendant que d’autres les prennent par derrière.

On boit à même la bouteille. Elle me dit son nom en riant. Puis, elle s’approche de moi et m’embrasse. Ses baisers m’enivrent. J’avale avec joie sa salive au goût de champagne.

Elle se couche sur la nappe, comme si elle se faisait bronzer dans un parc. Je fais couler ce qu’il reste de l’alcool sur sa peau si blanche. Dans mon ivresse, j’imagine que des rayons de soleil liquides se répandent sur son corps. Je la lèche partout pour lui éviter des brûlures.

Doucement, elle se dénude. Son corps magnifique m’ouvre l’appétit. Comme j’ai oublié d’apporter les ustensiles de plastique, je me sers de mes mains. Je la mange longtemps, avec délectation. Elle gémit de plaisir au moment où jaillit de son sexe une jouissance encore meilleure que le champagne. Je la bois jusqu’à la dernière goutte.

Elle me remercie en souriant. Je me couche contre elle. Je suis bien. On s’endort dans les bras l’une de l’autre, malgré les orgasmes très forts des filles qui continuent à baiser autour de nous.

Eat it

Sunday, March 21, 2010

Orange sanguine



Première nuit

Il me mange comme jamais personne ne m’a mangée. Sa langue me rend folle. Je dois me retenir pour ne pas venir trop vite. Je pense à des choses tristes pour retarder mon orgasme : un animal mort sur le bord de la route, un retour de voyage, ma dernière rupture, un fœtus entre les gants du médecin.

Il tire mes cheveux vers lui, me dit de le regarder. J’oublie les images tristes. Je redeviens mon corps.

Un orgasme.

Un autre.

Il essuie son visage en souriant.


*

Deuxième nuit (une semaine plus tard)

Il chuchote à mon oreille qu’il veut manger ma pêche. Je déteste cette expression tellement cliché… Mais dans sa bouche à lui, sa bouche qui me mange si bien, ça m’excite. J’en ai terriblement envie, mais je refuse. - Pourquoi? - J’ai mes règles. Ça ne semble pas l’arrêter : il enlève ma petite culotte. Je ne veux pas, j’hésite, mais après quelques coups de langue, j’oublie mes réticences. Il mange mon fruit défendu, mon orange sanguine.

Le jus et le sang coulent sur son menton.


Eat it

Image par L Boy

Thursday, March 18, 2010

Lao-Queue a dit :

La levrette vous sied si bien, mesdames.

Wednesday, March 17, 2010

E. + T. + M.

La langue d’E. dans la bouche de M. + la langue de T. sur le sexe d’E. = orgasme d’E.
Le doigt de M. dans le sexe de T. + la langue d’E sur le sexe de T. = orgasme de T.
La langue d’E sur le sexe de T. + le sexe de M. dans le cul de T. = orgasme de M.

Tuesday, March 16, 2010

À la pêche aux moules, moules, moules.

J'attends jeudi avec angoisse.

Je prends une (donc plusieurs) bières avec 46. Je lui ai déjà fixé un numéro car j'estime que c'est déjà gagné.

Je n'ai qu'un problème avec 46, outre le fait qu'elle soit en ressources humaines.

C'est sa beautée de jeune blonde, son sourire plein d'admiration mouillée quand on lui raconte un voyage de bohème, son ex aux cheveux bouclés qui devait vraiment être un bon gars.

J'angoisse: j'ai bien peur de ne pas pouvoir la battre.

Ça me ferait beaucoup de peine.

Trompe L'oeil

Gentleman

He’s a real gentleman: after he comes on me, he gives me Kleenex. It’s so romantic. I wipe my face with them and thank him.

Some guys give flowers, love letters and chocolate. This guy gives me orgasms, cumshots and Kleenex. I’m such a lucky girl.

Eat_it

Monday, March 15, 2010

Nostalgie d'entre-jambes

Hier soir, j'ai pensé à toi.

Ça fait un boute que j't'avais oubliée. Que j'essayais, en tout cas.
J'fourrais des p'tits pamplemousses souriants pis des pâtés de foie gras en essayant de m'accrocher à un autre corps que le tien.

Mais hier soir, la solitude m'a pogné dans un coin,
personne à appeler, pas de femme à caresser,
pas d'entre-jambes bien chaude
où faire danser ma langue, mes doigts, ma queue

Ça fait que hier soir, j'ai pensé à toi.
Ton corps m'a flashé din yeux, pendant que j'me crossais
un vieux souvenir, une bulle de désir...

Nous deux, couchés, mes caresses sur tes bras, sur tes jambes,
tes hanches; j'effleure ta peau, tu commences à bouger,
lente, sensuelle.. ton sourire me fait exploser
tes caresses
ça déboule, on s'emmêle
tes fesses, osti, tes fesses !
Ton beau p'tit cul qui se presse sur mon ventre,
tes jambes ouvertes qui m'appellent
nos caresses
tes seins, oooosti tes seins !
Tes beaux p'tits seins tendus, ta main qui les pétrit
pendant que j'te caresse le clitoris
on n'en peut plus
j'm'enfonce en toi
j'sens le plaisir qui te traverse comme une grande vague

pis la jouissance explose en moi
j'me laisse porter
mon corps se tend pis se relâche... c'est fini..
j'ouvre même pas les yeux
t'es pu là
je le sais


T-Joy

Friday, March 12, 2010

43

Rebonjour fidèles lecteurs.

Je suis un optimiste convaincu. Je crois que l'humanité tend à s'améliorer, du moins à se dépasser.

J'en suis une preuve incontournable.

En effet si 1 était certainement un exercice de style vigoureux et convaincant dans le sous-genre trash, du moins pour un novice, 43 est alors un pas de plus vers l'absolu, vers la fin de l'histoire de Fukuyama.

Ex-taularde, 43 est dans une maison de transition. Trafic de stupéfiants. Du haut de ses 5'11, elle contemple le monde d'un regard vide, ses yeux à mi-chemin entre un abysse menant à fuck-all et les globes oculaires d'un merlan frit. Elle n'est pas trop désagréable au regard et ses fesses me rappellent la mi-novembre: deux belles citrouilles pas trop symétriques, deux semaines après l'Halloween.




-----
14h30
-----

Passage à la Banquise pour dîner: mon otarie se commande deux hot dogs all-dressed et une poutine (grande). De verser vinaigre, mayo et ketchup sur sa poutine.

Ah ma grosse chienne.

Ça me prend un voyage aux toilettes et tout mon petit change pour ne pas vomir mon début de cheese-burger sur la table et par le fait même ajouter un 7ème ingrédient sur sa poutine.

Je la pousse dans le dos pour qu'elle finisse sa plottée immonde avant que quelqu'un que je connaisse ne m'intercepte en compagnie d'un animal de ferme.

Je commence à douter de ma capacité à mener à bien cette mission.



-----
16h00
-----

Arrivés chez moi, on passe à l'action très rapidement. Comme disait mon père, les deux meilleurs moments quand on a de la visite c'est quand elle arrive et quand elle part.

Je ne m'étais pas trompé, c'est mou.

Par contre je ne m'attendais pas, en pleine levrette, à tirer sur ses cheveux et que ça me reste dans les mains. Faut croire qu'en taule, on rase aussi les femmes. Une seule chose à faire: continuer. Tel un capitaine de U-boat, je ne dois pas hésiter à descendre plus bas, quitte à couler avec le navire.

Je sors de sa chatte et lui enfourne mon membre jusqu'au fond de sa gorge. Ça c'est pour la perruque. Elle pleure un peu et je vois que le gag reflex fait des siennes depuis quelques secondes. Suffit la baignade, je sors de là et elle en profite pour cracher dans la serviette sale à côté de mon lit.

On recommence. Larmes, maquillage qui coule, mucus sur la serviette. Ça c'était pour la poutine.



-----
17h00
-----

43 a pris la 24, seule.
Il n'y aura pas de prise 2.

Trompe L'oeil

Thursday, March 11, 2010

Des courgettes et des femmes

Il fait soleil, tout le monde affiche un sourire épanoui comme après un orgasme. C’est une journée parfaite pour se promener et aller au marché Jean-Talon.

J’arrête à mon kiosque préféré, là où la commis est jolie, la caissière sexy et les légumes toujours frais. Je ne sais pas si c’est le soleil, le printemps, la bouche tentante de la commis, le décolleté de la caissière ou le fait que je n’ai pas baisé depuis une semaine, mais je me mets à caresser les courgettes avec des arrière-pensées. Je choisis évidemment les plus grosses – pourquoi se priver? La caissière prend les courgettes que j’ai élues et les met dans mon sac. Puis, elle me sourit comme si je venais de la manger pendant une heure et qu’elle me remerciait. Tout ça parce que je viens d’acheter des légumes... Si je n’étais pas une trouillarde, je lui donnerais mon numéro de téléphone en même temps que le 2$... Je me contente plutôt de rougir et de mouiller.

Je repars chez moi en me retenant pour ne pas gambader comme je suis tellement heureuse de mon achat. Malgré le beau soleil, j’ai hâte de m’enfermer dans ma chambre, de fermer les rideaux, d’insérer une courgette dans mon sexe et l’autre dans mon cul, en m’imaginant avoir un trip à trois avec la jolie commis et la caissière sexy.

Tuesday, March 9, 2010

1

Je me rappelle de 1.

De ses cuisses larges, pas assez pour qu'on la qualifie de grosse. Ses lèvres pulpeuses, invitantes. Les seins énormes (elle fera une bonne nourrisse plus tard) aidaient aussi à taire le mot de la honte adolescente.

On passe volontiers le bourrelet quand, juste en haut, se trouve assez de potentiel de flottaison pour rescaper la moitié de l'équipage du Titanic.

Elle était vulgaire, grossière. Capricieuse, une princesse du lointain royaume de Trailer-Parkland. Parfaite pour vider les couilles d'un puceau.

Elle mit sa bouche à l'ouvrage: son silence entrecoupé de bruits de succion entraîna une nette amélioration de mon appréciation envers elle. Ce fut rapide, elle n'y prit certainement aucun plaisir.

Le lendemain matin: adieu.

Prochain épisode: 43

Trompe L'oeil

Sunday, March 7, 2010

Trophy Hunting

I like his dick so much, I’d like to bring it back home, sleep with it, eat my breakfast with it sitting in front of me, take my shower with it, carry it in my purse and put it on my desk at the office, like others put the portrait of their happy family.

Saturday, March 6, 2010

Lignes de vie

En face de moi, un homme tel que j’imaginais mon mari quand j’étais plus jeune, avant que je devienne lesbienne. Après, il y avait dans mes visions d’avenir une grande femme blonde, aux cheveux lisses, avec qui je me marierais (elle en robe blanche, moi en tuxedo) et avec qui j’adopterais plusieurs enfants.

Cette femme, je ne l’ai jamais rencontrée, mais j’en ai connues plusieurs autres. Plus tard, j’ai aussi couché avec plusieurs hommes, troquant mon étiquette de lesbienne pour celle de bisexuelle. En fait, j’aimais le sexe tout court : les langues, les doigts, les mains, les poings, les fesses, les clitoris, les lèvres, la salive, le sperme, les queues en plastique ou non.

Et maintenant, cet homme en chemise et en veston, devant moi, m’offrant une bière. Il est très près de l’image du Prince charmant que je me suis forgée plus jeune, quand je me masturbais avec mes toutous en l’attendant. À présent que cet homme est devant moi, je ne souhaite pas le marier (d’abord, il a déjà une femme; ensuite, le mariage ne m’intéresse plus), mais je veux qu’il déchire mes collants, me crache au visage, me force à me masturber devant lui, m’empoigne très fort par les cheveux pour que je le suce, puis qu’il me baise de toutes ses forces jusqu’à me faire jouir.