But: Vous fournir une perte de temps à haute teneur en libido.
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Tuesday, May 4, 2010

Tempête

Ce jour-là, j'ai eu envie de la gifler. Quelle garce, que je me disais. Quelle conne ! Après cinq ans de vie commune, elle trouvait encore le moyen de me faire chier. Quelle truie ! Je faisais mon possible pour ne pas la brusquer, respecter ses humeurs de merde, mais voilà qu'elle en rajoutait, encore et encore. Je lui ai pris l'épaule, j'ai serré les doigts... j'avais envie de sentir ses os craquer pour qu'elle comprenne enfin qu'elle allait trop loin.

Elle s'est débattue et m'a repoussé contre le mur. Je l'ai saisie par la taille pour la projeter au sol. Mon élan m'a emmené avec elle, nous avons roulé sur le plancher du salon, crispés de colère. Ses doigts me griffaient la peau du dos, j'essayais de la mordre jusqu'au sang. J'avais vraiment envie de lui faire mal.

Après une dernière roulade, ma tête a heurté le meuble de la télé et je suis resté sonné durant une seconde ou deux. Elle a tout de suite saisi l'occasion pour me plaquer au sol, son genou suspendu à quelques millimètres de mes testicules vulnérables. Nous nous sommes regardés en silence, haletants.

La seconde suivante, nous nous embrassions passionnément. L'envie de tuer, soudain, s'était transformée: notre violence prenait tout à coup une autre tournure.

Elle déchira mon chandail, je lui arrachai sa chemise légère. Une nouvelle roulade me plaça au-dessus d'elle, tandis que j'arrachais aussi son pantalon. Elle voulut se déplacer, mais je ne lui laissai pas le temps. Elle avait encore sa petite culotte à mi-cuisse quand je lui ouvris les jambes de force. Le tissu léger se déchira. Elle se débattit à nouveau, essayant de me déshabiller la première, mais il était trop tard, ma langue lui chatouillait déjà le clitoris lorsqu'elle parvint à enlever mes sous-vêtements.

Elle voulut éloigner son sexe de ma bouche mais je la poursuivis à grands coups de langue, ne lui laissant aucun répit. Elle commença à me sucer avec ardeur, tandis que mes doigts rejoignaient ma langue et se mettaient à danser en elle.

Je m'éloignai de ses lèvres trop tendres et la plaquai au sol. Elle se défit de mon emprise mais, au lieu de reprendre la fellation, elle se tourna sur le ventre et leva le bassin, me présentant son entrejambe humide, le dos courbé de si belle façon que je dus me retenir pour ne pas éjaculer là, tout de suite, sur son cul magnifique.

Je la pris passionnément, mon membre gonflé caressant ses parois vaginales dans des angles délicieux. Notre violence était devenue une tempête de sueur et d'humidité et aucun de nous ne parvint à retenir ses cris lorsque la jouissance nous emporta, ensemble.


T-Joy

1 comment:

  1. Comme c'est beau! J'adore quand la colère fait place au sexe intense ^^

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